Il y a encore son verre sur la table
Il y a encore son reflet dans le miroir
Il y a encore son visage dans ma mémoire
Et des traces de nos pieds dans le sable.
Mais il y a aussi la persistance de nos différences ,
Des raisons pour nos silences,
Mes épices et nos frontières de langues,
Mes croyances, mon dieu, mon existence,
Mes logiques, Ses arguments, nos divergences.
Nos routes sur la carte
Étaient tracées de la sorte
Qu’à peine arrivé,
Il était grand temps qu’il parte.
Vous pouvez continuer votre lecture sur cette page : POEMS !